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Comment ne plus être un tueur de plants (en 10 questions-réponses)

Vous êtes nombreux à m’écrire pour me dire que vous ne faites pas vos plants parce que vous vous sentez « nul(es) » : à vous écouter on imaginerait presque des serial killer de semis.

Et cela me peine un peu car en vrai, personne n’a la « main verte » plus que d’autres ! Le mythe de la main verte est tout simplement le résultat d’une équation à trois variables : l’expérience (et il existe un raccourci magique pour acquérir ce superpouvoir si l’on profite des partages de jardiniers plus aguerris*), l’humilité (celle qui nous aide à nous remettre en question ET ne pas trop se vexer de nos loupées) et l’opiniâtreté (cet exact degré de niaque qui va nous faire réussir au 3ème, 4ème, voire 12ème essai là où d’autres moins têtus se seraient découragés au premier).

*Précision : ce ne sont pas des super-héros, juste des gens qui se sont cassé les dents avant vous sur les mêmes problèmes… avant de trouver des solutions ^^

Voici donc les réponses aux questions que vous me posez souvent, cela devrait vous aider à upgrader votre statut de tueur en série pour plantes en celui de Superplantman, le héros-jardinier à la main verte. Vous y gagnerez en satisfaction ;), à bien des points de vue.

J’essaye aussi de vous démêler le vrai du faux, car on entend un peu de tout sur le sujet… y compris beaucoup d’âneries, ce qui n’aide pas.

1.Pourquoi faire ses plants ?

-Par économie : là nous sommes mi-avril, j’ai déjà plus de 200 godets dans ma pépinière, je vais en semer encore très bientôt (les légumes d’été comme la courgette, la courge, le basilic, le concombre, etc.), et encore une troisième fournée cet été pour certains légumes d’hiver. Quand on voit maintenant le prix des plants potagers en jardinerie ou sur les foires (au moins 1€ pièce, souvent bien plus dans les jardineries) le calcul est vite fait !

-Pour le bonheur de cultiver des variétés originales qu’on ne trouve jamais en jardinerie; car les catalogues de grainetiers sont des trésors de « biodiversité cultivée » comme le dit si poétiquement le site de La Semence Bio : vous aurez l’embarras du choix entre des légumes et fleurs incroyablement beaux et/ou savoureux et/ou originaux et/ou mieux adaptés aux conditions de votre jardin, contre seulement 2 ou 3 variétés maximum (souvent F1) par type de légume sur les tables de plants en jardinerie…

2. Quand semer ?

Tout dépend :

-des légumes et fleurs que vous souhaitez cultiver;

-de votre climat.

Chez moi (600m d’altitude, au pied des Alpes mais bien exposé sur un coteau plein sud), je sème en godets courant mars tous les choux d’automne/hiver européens pommés ou à feuilles (pour les choux asiatiques, c’est beaucoup plus tard), de même que des blettes, les céleris branche et rave, des légumes-feuille comme la tétragone, le chénopode, l’épinard en arbre, le plantain ‘Corne de Cerf’, des poireaux, etc. Bref tout ce qui ne craint pas trop le froid, et a besoin de temps pour bien se développer avant la mise en place définitive entre mai et juillet. Je sème aussi en godets quelques fleurs peu sensibles au froid : cosmos, souci, capucine, nigelle, pavot de Californie, chrysanthème comestible, dracocéphale de Moldavie, etc. Tout ce petit monde est placé sur une charrette de semis, sans aucune protection, et surtout pas en serre ni sous châssis car une journée ensoleillée pourrait faire grimper très haut les températures, avec un risque de légumes-feuille montant prématurément en graines ! Les blettes, particulièrement, sont très fortes à ce petit jeu…

Puis vient une 2ème vague à partir de mi-avril avec les légumes aimant davantage la chaleur : les courgettes, les potirons, les concombres (pas avant mai, sinon on risque un mauvais départ), le basilic, les fleurs plus thermophiles comme les zinnias, les ammis, etc… eux peuvent être placés en serre ou sous châssis, ils ne s’en porteront que mieux.

À noter, qu’au printemps, tout ce qui ne présente aucun danger de montaison précoce (fleurs, légumes-fruit ou aimant la chaleur comme le basilic…) peuvent être mis à l’abri d’une serre froide ou d’un châssis.

À noter aussi que, faute de lumière (pas de véranda, maison ancienne aux murs épais…), je ne fais pas mes plants de tomates, d’aubergines, de poivrons ou de physalis : ce sont les seuls que j’achète 😉

Enfin, je fais une troisième vague de semis en godets courant août avec toutes les légumes-feuille d’hiver : épinards, mâche, claytone, moutardes, choux chinois, persil, cerfeuil, laitues d’hiver, chicorées, etc.

Petite blette italienne ‘Compacta Verde’

3.Dans quoi semer ?

On reconnaît les vrais jardiniers à leurs contenants pour semis : plus c’est moche et criard, plus ça ressemble à la pépinière de Dame Ginette (si seulement dame Ginette avait un potager), et plus c’est authentique ^^.

Car tous les (si photogéniques) petits pots biodégradables en fibre de coco pressée, à la jolie teinte brune qui sent bon l’écoresponsabilité, la-nature-et-les-p’tits-zaseaux, c’est du chiqué ^^

Moi aussi je les trouve mignons, mais un « vrai » jardinier sème généralement ses amours de légumes et de fleurs bio dans d’horribles pots en plastique noir, bleu garage, rouge pétard, vert Shrek et orange gilet de la DDE qu’il a récupérés au cours de ses longues années de jardinage… parfois même il utilise les boîtes à croissants des enfants du voisin, des caisses de poiscaille en polystyrène qui fleurent bon l’étal d’Odralphabétix, bref, plus ça fait décharge publique, plus cela témoigne du degré d’amour du jardinier pour la nature.

Pourquoi ?

Parce qu’un pot en plastique dont on prend soin est réutilisable chaque année pendant 5, 10, 15, 20, 25 ans… contrairement aux très instagramables nguiniguini de petits pots tout mignons en fibre de coco de l’autre bout du monde, ayant demandé de l’énergie et de l’eau pour être fabriqués, avant de traverser les océans sur des porte-containers… pour venir se décomposer en moins d’une saison dans notre jardin, c’est ballot ! Le plastique n’est pas renouvelable, c’est vrai, et sa fabrication demande aussi de l’énergie : pour moi, c’est une matière qui doit être considérée comme rare, précieuse, et donc un peu noble (si si !) que l’on doit respecter en ne l’utilisant qu’avec parcimonie pour fabriquer des objets utiles, robustes, durables, ultra réutilisables. Comme nos godets en plastoc de « vrais jardiniers » dont certains rempilent chaque année depuis les années 90 😉

J’utilise aussi des plaques de multiplication, pour les plants à produire en nombre (salades, certaines fleurs…) : cela permet d’économiser le terreau et la place, car semer 50 zinnias dans une plaque ça prend nettement moins de terreaux et de place que dans 50 godets ! Mais attention de ne jamais les mettre en plein soleil car les plants s’y dessèchent plus vite. Il faut aussi bien penser aux arrosages quo-ti-diens des plaques.

On lit parfois sur les réseaux sociaux des gens très occupés à faire du buzz qu’on peut semer dans des coquilles ou des boîtes d’oeufs, dans du papier journal, dans les rouleaux de PQ, etc. Faites-le. Si vous voulez conserver votre statut de bourreaux de plants.

Oui oui, j’avoue, moi aussi j’ai testé toutes ces c*nneries, avec à chaque fois un taux de germination pathétique (probablement dû aux colles et produits chimiques des rouleaux de PQ, encres de journaux et autres boîtes d’œufs) et quant aux quelques plantules héroïques qui avaient réussi à pointer le bout de leur nez, ils se sont lamentablement étiolés.

Le godet moche, je vous dis, il n’y a que ça !

Ou alors le presse-motte, autre solution qui semble bien sympathique, mais qu’à titre personnel je n’ai pas encore testé. Malgré mon amour de l’esthétisme, il y doit y avoir un peu de dame Ginette en moi tant je reste attachée à ma collection de godets recyclés de toutes les couleurs…

Terreau riche en matière organique bien décomposée

4. Quel terreau utiliser ?

Contrairement à ce qu’on peut lire un peu partout, l’usage de terreaux pour semis n’est pas obligatoire : ils sont beaucoup plus chers, et pas forcément hyper performants sauf chez quelques rares marques qui font les choses bien.

L’an passé j’ai acheté pour dépanner du « terreau pour semis » de la marque d’une enseigne de jardinerie connue, et mon statut de super-jardinière avec une cape rouge a aussitôt régressé en celui de tueuse de plantules : après avoir péniblement sorti leurs deux pauvres cotylédons jaunâtres tout en haut d’une tige anorexique, ils semblaient si épuisés qu’on avait envie de leur faire un massage cardiaque…

Et là j’ai compris pourquoi certains d’entre vous « ratent » leurs plants : franchement, certains terreaux nous poignardent dans le dos !

Comme le terreau pour semis est de surcroît très onéreux, on peut opter pour un très bon terreau de rempotage et de plantation, utilisable en agriculture biologique (sinon il peut contenir des engrais chimiques), en veillant à ce que son taux de matière organique sur matière sèche soit très élevé (sinon vos plants ne démarreront pas bien), de même que son taux de rétention d’eau (sinon l’eau d’arrosage va trop vite s’échapper, entraînant de surcroît les nutriments dont vos plants avaient tant besoin !) .

En voici un excellent ici, à 0,57€ le litre sur le site Comptoir des Jardins qui sélectionne toujours avec beaucoup de soin les produits proposés à la vente : UAB, avec 80% de matière organique et 80% de taux de rétention d’eau ce qui est exceptionnel comparé à la plupart des autres terreaux !

On peut aussi, c’est ce que je fais souvent, semer dans du terreau de feuilles « maison » composté au moins 18 mois, mélangé à un peu de compost, de basalte et de sable. C’est économique, les plants poussent bien MAIS c’est un peu risqué : car contrairement aux terreaux professionnels de qualité -lesquels ont été compostés avec une bonne montée en température- le fait-maison peut contenir des micro-organismes pathogènes, du genre de ceux qui provoquent la catastrophique fonte des semis…

Moi je prends le risque, sinon vu la quantité de plants il me faudrait investir dans vraiment beaucoup de sacs de terreau… mais un jour j’aurai peut-être à le regretter, j’en suis consciente.

Enfin, j’ai aussi appris au cours des années à différencier les besoins de chaque plante : un plant de tomate ou de courgette nécessite plus de nutriments qu’un plant de choux, lui-même plus gourmand en matière organique qu’un plant d’oignon… Chez les fleurs, un zinnia demande plus qu’un cosmos, lequel demande plus qu’un pavot de Californie. C’est pour cela qu’une fois bien développés (pas trop tôt, au risque sinon de brûler les racines) je nourris mes plants de façon un peu personnalisée. Il serait trop long de tout détailler ici, mais en gros les « purins » de plante, les « thés » de compost ou d’Or Brun (une pelletée dans un arrosoir, on mélange, on arrose), les bons engrais bio liquides ou même en granulés (lorsque le plant est vraiment bien développé, commence à languir un peu dans son godet, mais que la place n’est pas encore libre) sont au menu de mes semis…

Bébé zinnia, avec l’enveloppe de sa petite graine encore accrochée au cotylédon

5.Peut-on semer tout simplement dans de la terre de son potager ?

Cela je l’ai fait il y a 20 ans, lorsque mon budget jardin était proche de zéro… en soit, ce n’est pas ahurissant vu que l’on sème bien tout un tas de légumes en pleine terre !

Du côté des avantages, cela permet de ne rien dépenser du tout : on tamise un peu de bonne terre prélevée dans les zones fertiles et riches en humus de son potager, et le tour est joué. Cela représente aussi l’intérêt d’être parfaitement écologique (pas de pillage des tourbières, pas de sacs en plastique, pas de transport…).

Du côté des inconvénients, il faut savoir que loin de leur « milieu naturel » (avec présence de vers de terre, de cailloux, de sables, de matières organiques non décomposées, etc.) certaines terres une fois tamisées et mises en pot ont tendance à se colmater façon argile à poterie, formant des mottes très denses et sèches dans lesquelles les systèmes racinaires peinent à se développer.

Enfin, à moins de pratiquer un sérieux faux-semis, il faut bien connaître les plantes car une fois que 58 graines de plantain, liseron, ortie, etc. auront germé dans le godet de terre du jardin, bien malin saura quoi éclaircir pour ne garder QUE le plant d’arroche semé avec amour…

6.Faut-il une serre pour réussir ses plants?

Absolument pas !

La serre permet aux impatients comme moi d’avancer un peu la saison en gagnant plusieurs degrés donc 2 à 4 semaines de culture (guerre plus), mais si vous suivez bien les indications sur les sachets de graines et que vous semez en plein saison vous pouvez totalement vous en passer !

D’autant plus que, comme je le disais plus haut, la serre est un piège lorsqu’elle monte très fort en température. Chez moi, on a parfois atteint 50°C en avril par surprise : 10 jours de pluie annoncés, serre bien fermée avec juste la porte entrouverte, le soleil sort et paf ! au bout d’une demi-heure voilà la serre transformée en four ! Des blettes, des choux kales, des salades, des céleris, etc. soumis à une telle température peuvent sembler « s’en remettre » après un bon arrosage, mais lanceront rapidement un bâton floral pour assurer la survie de l’espèce suite à cet énorme stress. Et ce sera évidemment au détriment des récoltes, car la plante sacrifie ses feuilles pour former ses graines… et nous se sont les feuilles tendres qu’on veut manger, pas les graines !

Ma fameuse « charrette à semis », déjà présentée sur ce blog il y a quelques années. C’est pratique, je peux la déplacer 🙂

7.Quand arroser ?

À chaque fois que le terreau a légèrement séché en surface. Pas plus sinon on risque le développement de maladies, pas moins (le doigt planté dans le terreau doit sentir un peu d’humidité) sinon les plants souffrent de stress hydrique et vlan, ils peuvent monter en graines…

Et si vous pouviez, de temps en temps, arroser au purin d’ortie, de saule ou de prêle, vos plants n’en seraient que plus vigoureux et résistants aux maladies ! Les semis, c’est vraiment le seul moment où j’utilise un peu de purin… le reste du temps, je n’ai pas la patience 🙂

8.Comment éclaircir ?

Je sème plusieurs graines par godets, puis j’éclaircis en deux fois : d’abord en laissant les 3 ou 4 plus belles pousses par godets (car on ne sait jamais, il y en a toujours une qui peut se faire boulotter par un oiseau, emporter par des fourmis, casser par les ébats d’un lézard… c’est du vécu !), puis, quelques jours après, j’éclaircis de nouveau pour ne laisser que la plus belle. Il ne faut pas chercher à laisser la pousse la plus au centre ou la mieux placée, mais vraiment la plus vigoureuse, même si elle se situe complètement dans un coin du godet. Ainsi, on effectue une sorte de sélection, qui laisse espérer un légume solide et imposant puisque c’est THE warrior qui est en train de pousser là.

N’hésitez pas à semer un peu plus dru si vous n’êtes pas sûrs de la qualité des graines, ou si elles sont en limite de péremption. Et a contrario, ayez la main légère si vos graines viennent d’un excellent semencier : je n’ai évidemment pas testé toutes les maisons de graines, mais je vois déjà la différence avec La Semence Bio ou le Biau Germe : contrairement aux sachets achetés en jardinerie, là on a quasiment l’impression que chaque graine germe…

Pour éclaircir avec précision lorsque la germination est un peu drue, les petites dames avec de longs doigts fins et des ongles sont un peu privilégiées par rapport aux bûcherons ;). Mais le travail peut aussi se faire avec une pince épiler, y compris pour les petites dames qui, comme moi, se sont imbécilement rongé les ongles en regardant un film à suspense juste 4 jours avant d’éclaircir leurs 200 godets…

Naissance d’un « bout de chou » 🙂

9.Godets ou pleine terre ?

Pour la plupart des légumes, on a vraiment le choix : personnellement, je sème en godets tout ce qui doit attendre que la place se libère au potager, ou ce que je dois surveiller de près contre une attaque de limaces… ainsi, chez moi il serait littéralement kamikaze de tenter un semis de concombres en pleine terre par exemple : il n’en resterait qu’un moignon tout englué de bave dès la première pluie.

Je sème toujours en pleine terre les légumes à racines pivot (carottes par exemple) ou des petites choses à la volée de type mesclun, épinards, persil tubéreux, radis, etc. même s’il m’arrive aussi de faire par exemple des plants de mesclun d’hiver en plaque de multiplication : cerfeuil, mâche, divers choux chinois et moutardes, roquette, laitues rustiques, claytone… semées en pépinière courant août, ces verdures sont prêtes à être plantées fin septembre au moment où des rangs se libèrent : s’il avait fallu attendre le milieu de l’automne que la place soit faite pour semer il aurait été trop tard, les graines n’auraient pas germé, ou pas eu le temps de suffisamment se développer avant les grands froids. Le semis en godets permets donc aussi de temporiser, afin d’obtenir une parfaite succession de cultures (et donc augmenter la productivité du potager).

Chou ‘Port Neuf’

10.Pourquoi mes plants lèvent puis disparaissent ?

Cela peut être :

-La fonte des semis, due à une attaque de divers champignons pathogènes. Il n’existe hélas aucun moyen de sauver les semis s’ils sont attaqués : il faut les jeter, mettre le terreau contaminé à un endroit du jardin où cela ne pose aucun souci (au pied d’une haie par exemple), puis désinfecter les pots avant d’y refaire le moindre semis.

En prévention, veillez à semer dans du terreau de qualité donc stérile, à la bonne saison, en évitant le confinement et la condensation (en plein air plutôt qu’en serre ou à la maison), sans trop enterrer les graines, et en saupoudrant éventuellement un peu de poudre de charbon en surface.

-Des limaces : voilà pourquoi je sème plus volontiers en godets qu’en pleine terre, et que je mets mes godets en hauteur, sur une charrette. Cela peut aussi être une table par exemple.

-Des fourmis : j’en ai vu qui embarquaient mes graines pour leur garde-manger de cantines à fourmis, et même qui cisaillaient mes plantules sur place ! Avant, je mettais ma « pépinière » de petits godets sur la dalle de la porte-fenêtre du salon : exposée plein sud et à l’abri du vent, elle constituait un merveilleux microclimat pour les jeunes plants ! J’ai dû y renoncer à cause des fourmis, mais aussi des chiens qui se couchaient sur les pots, des rats qui y dansaient la gigue chaque nuit… c’était infernal. Sur la charrette, seuls les lézards et les oiseaux font encore les zèbres, mais ça se gère.

-Des oiseaux : et oui, il y en a qui aiment les plantules, et pour cela je n’ai pas beaucoup de solutions si ce n’est de mettre un filet si les pertes sont trop importantes.

Comme ils sont nettement plus mignons que les limaces, on leur pardonne volontiers…

Sur ce je vous souhaite de belles vacances de Pâques, peut-être le nez dans vos godets :). Moi je me prépare psychologiquement à écraser sous ma botte, au détour d’un massif, quelques oeufs en chocolat oubliés… c’est toujours un peu surprenant, surtout en été lorsqu’ils sont tout fondus et qu’on marche pieds nus dans l’herbe… pour se détendre…

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  1. Je m’appelle Erika, je suis de France
    Vraiment je suis très contente de ce monsieur ce MAÎTRE SOGBO c’est un monsieur très puissant et simple, grâce à lui j’ai récupéré mon boulot à nouveau,mon mari j’ai été licencié il y a de cela 8 mois et j’ai contacté plusieurs marabouts qui m’ont déjà déçu , heureusement j’ai tombé sur ce maître et il m’a fait un talisman qu’il m’a envoyé Je vous dis quand j’ai appliqué le talisman avec les instructions du maître SOGBO je vous jure sur ma vie que mon directeur m’a appelé le 3 eme jours matin que de venir reprendre mon travail qu’ils sont en manques de mes services, vraiment ce monsieur est un génie tout simplement merci maître Dieu vous le rendra au centuple. N’hésitez pas à le contacter pour lui faire part de vos problèmes il est tout simplement bon. Travail rapide et assurée.
    CONTACTS:
    Mail: mediumsogbo0@gmail.com
    whatsapp et appel : 0022899519273

    1. Bonjour erika,
      Merci pour cette infos !!
      Mais je ne vois pas trop le rapport avec le jardinage….
      Bonne soirée.

    2. Bonjour Érika, votre MARABOUT peut-il nous prédire le temps qu’il fera cet été ? C’est surtout pour mes tomates qui tremblent et bleuissent de froid en ce moment en Bretagne !😄

  2. Re Bonjour Marie,
    j’espère que vous allez bien et que vous vous êtes remise !
    J’habite à côté de Lourdes et de Tarbes dans les Hautes Pyrénées et je voulais savoir lequel des 2 almanach Terra ( climat doux ou climat tempéré ? ) était le plus adapté à ma région.
    Savez vous lequel il faut que je choisisse à tout hasard ?
    Merci par avance !
    Je vous souhaite une Joyeuse Pâques !
    Baudouin.

    1. Ah, c’est une bonne question, je ne saurais vraiment pas vous dire faute de bien connaitre votre jolie région ! Demandez à Olivier ou Guillaume chez Terra, ils vous répondront sûrement 🙂
      Joyeuse fête de Pâques à vous aussi Baudoin !
      Marie

  3. Merci, Marie, pour tous ces conseils avisés. C’est un plaisir de te lire !
    J’avoue avoir renoncé ces dernières années, pour des raisons liées à la fois à la logistique, au climat et à la qualité de ma terre, à faire pousser les tomates que nous aimons tant dévorer à l’été. N’ayant guère de place dans mon jardin de ville, j’en reste aux aromatiques. En revanche, j’ai fait un « semis » de pépins de mandarines issues de notre vieux, très vieux mandarinier dans des petits godets plastiques soigneusement conservés et pour ma plus grande joie, tout ce petit monde a montré le bout de sa plantule. J’en suis au stade 2 : repiquage en pot, avec pour l’instant une seule victime dévorée par un escargot affamé. J’espère pouvoir récupérer d’ici quelques années un successeur au moins, aux fruits aussi délicieux que ceux de notre ancêtre bien amoché par les ans.
    Concernant le terreau de jardinerie, j’ai eu par le passé la même expérience que toi : peu de pousses, des tiges extra fines qui s’étiolaient, bref l’échec total.
    Joyeuses Pâques à toute ta « petite » famille !

    1. Quel bonheur ! C’est quoi comme mandarinier? Est-ce qu’il gèle chez toi? J’ai la passion des agrumes, mais au pied des Alpes je dois choisir les variétés « rustiques » avec grand soin ^^
      Je te souhaite aussi une joyeuse fête de Pâques Marie-Catherine,
      Marie

    2. Bonjour Marie-Catherine, au risque de vous déçevoir vous aurez très peu de chance d’obtenir un arbre identique à l’original. Les limes font exception à la règle et sont les seuls agrumes consommables multipliés par semis. Il vous faudra choisir un porte-greffe, cette « opération » est réservée aux amateurs avertis…😉

  4. Super infos ! Merci Marie 🙂 et je confirme, beaucoup de plants à 1€ minimum actuellement, même en Serre… J’en profite aussi… Votre dernier livre est Top ! A bientôt,

  5. Merci infiniment Marie,
    De cette profusion de conseils en or que nous nous empressons de noter.
    Pour nous les débutants, votre expérience, en plus d une femme qui démarre son potager il y a presque 20 ans est très précieuse! Car parfois les maris ne partagent pas cette passion verte! Donc, en vue de démarrer un potager en permaculture nous nous cultivons en dévorant de multitudes de livres et d information qui influe de tous sens au point ne plus savoir que faire et catastrophées de l échec!
    Marie, vous avez un vrai talent de thérapeute, ce talent de tout dédramatiser avec de l humour. Tout devient tout de suite plus claire et l espoir de réussir sa propre culture des légumes commence à naître…

    Merci infiniment de nous faire gagner notre temps et l argent en nous épargnant des achats inutiles.
    Merci infiniment de votre générosité humaine.

    1. Oh, merci Jade, votre message me touche tellement !
      Je vous souhaite beaucoup de satisfactions avec votre jardin…
      Bon week-end de Pâques !
      Marie

  6. coucou Marie,

    Merci pour cet article très intéressant.
    Je dois être une vraie jardinière puisque j’utilise mes petits godets de toutes les couleurs 🙂
    Je vois que tu fais directe en godet, alors que moi, je me casse la tête à tout faire en petites plaques à semis puis à repiquer en godets. :/
    et tes cosmos, tu les fais aussi en godet, alors que je sème en place, mais je prends le risque que mr escargot me les mange: déjà vécu 🙁
    penses tu que c’est trop tard pour semer en godet mes cosmos? et tu mets plusieurs graines de cosmos et tu les laisses ou éclaircis aussi? Pour avoir autant de fleurs, combien fais tu de godets par espèce de fleurs? et vu que tu es aussi une maman de famille nombreuse 😉 combien fais tu de godets de courgettes cucurbitacées blettes choux pour automne/hiver……?

    cette année, je n’avais pas prévu de faire de semis pour courgettes courges, mais je vais tester le terreau que tu conseilles pour voir si ça change la donne.

    et oui je confirme, les plants coutent super chers: poivrons piments aubergines 2,50 le plant. Hier, j’ai acheté 14 poivrons et autant d’aubergines. Je ne sais pas si cela suffira pour 8, et j’espère surtout qu’ils me donneront en quantité.

    Les choux kales, je les ai trouvé à 0,70 pour mon plus grand bonheur. les blettes classiques aussi.
    sinon en juillet, j’arrive à trouver des poireaux à moins de 10€ les 50. et les choux fleurs brocolis…pour qq centimes. mais le pb, je les récolte que février mars avril.

    sinon, ton livre est troooop bien. Je lis et relis, prends des notes et admire toutes tes magnifiques photos . J’en parle autour de moi et rêve d’avoir un jardin autant fleuri et productif que toi. Petite question, pourrais tu mettre un peu plus de photos de ton chemin de calendulas fait avec une couverture et des morceaux de briques…cela donne bien, et comme j’ai pleins de morceaux de tuiles cassées, je réfléchis quoi faire avec. ce matin, j’en ai utilisé au pied de mes qq fleurs que j’ai planté pour éviter que mes poules me les déterrent.
    Un chemin, j’ai peur que cela nous fasse mal au pied si on marche pied nu ou si les poules ou chats marchent dessus. Je ne sais pas trop encore. J’ai d’autres questions, mais je te demanderais au fur et à mesure. et grâce à ton livre, j’ai acheté d autres graines de fleurs que je vais tester. et j’ai réussi à trouver des fraisiers toscana. J’espère juste que ma poulette noisette arrêtera de passer de l’autre côté de la barrière de la mare (là où tous mes fraisiers se trouvent) et me les décapiter. c’est la 3ème fois que je replante :/

    Merci encore marie et douce fin de journée

    bises

    1. re coucou

      ce matin, j’ai trouvé des plants de légumes non greffés à moins de 1 € 🙂 bon ce ne sont que des classiques, pas trop de jolies variétés ni de variétés qui sortent de l’ordinaire comme le chou noir toscan…mais bon cela peut dépanner.

      dans toutes tes fleurs que tu parles dans ton livre comme le bacopa le surfinia althéas géraniums calibrachoa lobélia et d’autres que je peux oublier, est ce qu’ils sont tous mellifères ou pas? sur certaines fiches, certaines pépinières disent oui d’autres disent non. Je me suis déjà aperçue entre ce que les pépinières disent et la réalité, cela ne correspond pas trop :/

      merci et douce fin de journée

      J’espère que tu vas mieux!
      bises

      1. N’étant pas une abeille, j’aurais du mal à voir qui est méllifère ou pas ^^, du coup je suis bien obligée de faire confiance à ce qu’on lit dans les livres ou sur les sites de pépinière ^^
        Des bises ma chère Cendrillon !
        Marie

    2. Ma chère Cendrillon,
      Je fais quelques cosmos en godets mais c’est surtout pour les offrir, car ils repoussent tout seuls chaque année dans mon potager et je dois même en arracher ^^.
      Pour te répondre, je plante environ 10 pieds de courgettes et c’est beaucoup trop ^^
      Mais quel que soit le légume, j’en fais toujours beaucoup plus car mes grands ont aussi chacun un petit potager chez eux, et j’en offre aussi aux amis 🙂
      Je te dirai en mai combien je vais planter de courges cette année, je les compterai…
      Plein de bises, et je te souhaite une très belle fête de Pâques !
      Marie

  7. Merci chère marie pour ces précieux conseils. Et merci également (on se croirait aux Césars) pour ton dernier ouvrage, je ne le quitte plus et j’y picore des tonnes d’idées. Il est aussi utile que beau. Cette année la déesse du jardinage est de mon côté, mes plants sont magnifiques, j’ai même réussi mes propres plants de tomates (sans serre et avec une vieille maison en pierre) issus de mes propres graines !!! Je suis donc fière et heureuse de moi, ce qui n’est pas toujours le cas, loin de là. Je suis aussi team godets moches, multicolores et récupérés. Mon jardin n’est qu’à sa 2ème année (l’an passé ne compte pas, trop cata), et il est bien parti pour devenir au fil des ans un fabuleux jardin. Grace à toi, en grande partie. Je t’embrasse de tout coeur et te souhaite de joyeuses fêtes de Pâques (avec du chocolat, plein de chocolat).

    1. Oh, c’est vraiment chouette ma chère Caroline, j’espère que tu auras beaucoup de statisfactions avec ton jardin cette année 🙂
      Bon week-end à toi aussi,
      Marie

  8. Merci infiniment pour vos articles et bons conseils. C’est un plaisir de vous lire avec une tasse de thé et mon bon chien couché à mes pieds. J’ai hâte que le soleil revienne pour retourner au jardin. Hâte aussi de lire bientôt votre nouveau livre de jardinage, j’ai tellement aimé le premier que je recommande à toutes et tous , néophytes ou expérimentés au jardin !!!

    1. Merci Mapira, et je me reconnais tellement dans ce que vous dites : on apprécie encore mieux sa tasse de thé ou de café avec un gentil toutou contre soi 🙂
      Bon week-end !
      Marie

  9. Merci pour cet article très utile. Je pense essayer le terreau que vous suggérez 👍 moi je fais mes semis dans mon salon sous lampe, ça marche bien mais pas trop de place et je ne suis pas hyper satisfaite du terreau pour semis d’enseigne de jardinerie connue 😉

    1. J’ai aussi élevé des plants dans ma chambre, une fois, avec une lampe spéciale, et c’était bien galère (en plus, ça a fait moisir mon joli papier peint ^^).
      Alors tant pis, je jette l’éponge 🙂
      Bon week-end de Pâques Aurélie !
      Marie

  10. Coucou Marie
    Un grand merci pour cet article qui répond je suis sûre à beaucoup de questions que l’on se pose en jardinier amateur.
    Comme pour le terreau à utiliser c’est vrai que l’on achète du terreau de semis mais merci pour tes conseils.
    Tous tes bons conseils vont nous aider mon mari et moi à jardiner encore moins et le jardin c’est ça c’est tester réussir ou pas c’est tout le bonheur du potager et des petites graines.
    Belle fin de semaine.
    Je t’embrasse très très fort.
    Jacqueline

    1. Un jour, il faudrait que je prenne le temps de carrément comparer les terreaux entre eux, car il y en a certains qui sont tellement pauvres que c’en est vraiment honteux… Olivier Puech l’a fait dans une vidéo qu’on trouve sur Youtube, c’est super intéressant 🙂
      Bon week-end ma chère Jacqueline,
      Marie

  11. Rhoooo merci Marie ! Donc, je suis une vraie jardinière, puisque j’utilise des godets de toutes les couleurs (avec une dominante noire toutefois …). J’ai même une certaine organisation : j’écris directement dessus le nom de la plante et comme ça, je les utilise d’une année sur l’autre . C’est particulièrement efficace pour les tomates puisque certaines variétés incontournables reviennent chaque année. Et sinon, je fabrique des étiquettes avec des petits tronçons de bois (tailles de noisetiers par exemple) sur le bout desquels j’enlève l’écorce avec un épluche légume : j’écris au stylo le nom de la plante sur la surface ainsi dégagée. Là aussi, je peux les ré-utiliser d’année en année.
    Lorsque mes godets en plastique (surtout les noirs) sont abimés, fendus, je les utilise pour faire des étiquettes (encore!!) : je récupère un coté entier, je le découpe en créant une forme d’étiquette, et je l’accroche sur un support créé avec un cintre de teinturier que j’ai au préalable transformé en créant une longue tige qui sera plantée dans le sol du potager et le bout tordu pour pouvoir y accrocher l’étiquette . Il ne reste plus qu’à écrire le nom de la plante au posca.
    PS: ton livre « foodscaping » est un réel bonheur ! Tu connais ce sentiment où tu es tiraillée entre l’envie de te jeter sur le livre et de le « dévorer « séance tenante, et le plaisir de le déguster morceau par morceau , comme un bon morceau de chocolat…
    Je t’embrasse.

    1. Merci pour tout ma chère Pat, pour tes astuces, pour les mots si chaleureux… je t’embrasse bien fort aussi, et te souhaite un très beau week-end de Pâques 🙂
      Marie

  12. Marie, merci de remettre de la douceur et du bon sens dans ce monde qui tourne à l’envers.
    Vos conseils jardinage sont tellement précieux. Bon rétablissement et joyeuses Pâques.

  13. Merci pour ce bel article et pour tous ces conseils!
    Je suis totalement d’accord avec vous…( comme les pots par exemple) …

  14. merci pour cet article! moi aussi je recycle mes pots en plastique.Et le semis en boîte à oeufs, c’est une catastrophe, je confirme! Entièrement d’accord pour le terreau de semis : cher, une vraie passoire et des plants qui végètent, donc merci pour cette adresse à tester.

  15. Bonsoir Marie

    Merci pour ce nouvel article très intéressant. J’ai en effet raté de nombreux semis à cause de terreaux de mauvaise qualité ou de champignons qui ont occasionné une fonte des semis. Cette année après avoir mis mes semis de poivrons sur un tapis chauffant j’ai eu la surprise de voir pousser des champignons de plusieurs centimètres de haut dans mes godets. Mais jamais de poivrons… Du coup je me suis demandée s’il ne serait pas judicieux de stériliser au micro ondes ou au four mon terreau avant de l’utiliser (il avait dû traîner ouvert dehors quelques temps avant utilisation)
    Je serais curieuse de savoir si quelqu’un a déjà tenté l’expérience. En attendant je te souhaite de joyeuses fêtes de Pâques en famille (malheureusement au travail pour moi cette année).
    Agnès

    1. Pauvre Agnès, bon courage, et Joyeuse Pâques tout de même…
      Marie
      (PS : Pour le terreau au micro-ondes sincèrement je ne sais pas ^^)

  16. Merci pour tous ces conseils. Chez moi c est Monsieur qui jardine. Les semis sont faits dans les godets multicolores et la véranda se transforme en jardinerie jusque mi mai. Bon je dis rien car j apprecie les beaux légumes le moment venu t j adore voir ces petits plants profiter de jour en jour. Bonnes vacances bon rétablissement et bonne chasse aux oeufs

  17. Ma chère Marie ,
    Je viens de lire votre nouvel article qui est Top !!
    Je vous le redis mais vos photos sont juste sublimes !!!
    Personnellement, je fais une très grande majorité de mes plants set je trouve ça particulièrement bien car cest plus économique de meilleur qualité….
    Je donne mes plants de potager sur leboncoin quand j’ai en trop et une personne m’a contactée pour les plants et elle m’a dit qu’elle n’était pas très très forte en jardin…
    Je lui ai alors directement conseillé votre super livre  » Mon fabuleux jardin en Permaculture « !! Et elle m’a dit qu’elle l’achetait sur le champ ! Alors j’était ravie pour elle et pour vous !
    Encore un très grand merci pour tout le temps que vous consacrez à ce blog qui est juste merveilleux !
    Je vous souhaite de très belles vacances de Pâques !!
    N’hésitez pas à me faire signe si vous passez dans le Béarn ou en Bigorre ! (entre Pau et Lourdes)
    Bien amicalement.
    Baudouin.

    1. Merci Baudoin, ce sera vraiment avec plaisir que je vous ferai signe si un de mes reportages m’emmènent vers chez vous 🙂
      Bon jardinage ! 😉
      Marie

  18. L’ennemi surprise : mon toutou, qui trouve les bébés feuilles de concombre succulentes… Merci pour cet excellent récapitulatif !

    1. Ah oui, là j’avoue que n’aurais pas soupçonné… le mien est captivé par les tomates ^^
      Bonne soirée Adeline,
      Marie

  19. Le presse motte c’est une sacrée invention…je fais de toutes petites et parfois après je mets en godet coloré

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