Quelques « secrets » pour de belles roses au jardin

Ceux d’entre vous qui me suivent sur Saines Gourmandises connaissent déjà mon amour des belles roses. Évidemment, la notion de « beauté » est variable selon les goûts de chaque jardinier, et cela est bien normal… Mais seules les roses au charme un peu désuet, déployant leurs gros jupons froufroutant aux teintes tendres et harmonieuses, savent susciter en moi cette douce émotion. Ah, si vous saviez combien je suis touchée par ces roses généreuses aux innombrables pétales, qui semblent incliner la tête avec grâce au passage du jardinier. Elles nous grisent de leur parfum sucré, les mignonnes, et semblent déployer des trésors de poésie rien que pour nous retenir quelques instants auprès d’elles. Une petite contrariété, un peu de spleen passager? Plongez donc votre nez dans les frais pétales d’une grosse rose, tel un enfant se réfugiant dans les jupes de sa maman… le traitement, pourtant bien simple, est d’une efficacité radicale 🙂

Comme je l’expliquais dans mon dernier ouvrage, les jardiniers bio se persuadent souvent à tort que de telles merveilles sont un peu trop gourmandes, délicates, capricieuses, pour figurer en bonne place dans un jardin assez « sobre » et totalement naturel. L’expérience m’ayant prouvé le contraire, je suis heureuse de partager avec vous certains petits « trucs » qui pourraient bien vous faire voir la vie… en roses 😉

–          Mais déjà, parlons un peu de mon climat : J’habite un plateau de semi-montagne (650 à 700m), à mi-chemin entre Grenoble et Valence. Est-ce à cause de cette situation particulière ? Ce climat semble comme hésiter à longueur d’année entre l’influence des Alpes et celle de la Provence… Ici, tout peut arriver : 22°C début janvier et -18 en février, 45 à l’ombre en juillet et 5 malheureux petits degrés au matin quelques jours plus tard, trois mois sans une goutte de pluie puis deux mois de déluge, les marmottes côtoyant les cigales, les edelweiss presque à un vol papillon des champs de lavande… Bref, vous l’aurez compris, nous sommes ici bien loin de la légendaire douceur de la Loire ! Et pourtant, mon jardin se pare d’une assez jolie collection de roses. Il y a donc bon espoir pour la plupart d’entre vous 😉

–          Vous avez été déçus par les rosiers ? Moi aussi ! Je ne compte même plus le nombre de ces pauvres gugusses épineux aux petits noms charmants, arborant telle une fière bannière de grosses étiquettes bien prometteuses, imprimées de roses aguichantes : Plantés en grandes pompes dans mon jardin, ils ont été arrachés quelques mois ou années plus tard à l’état de semi-squelette.

Vous voyez, je suis moi aussi – enfin du moins, j’ai été- une tueuse de rosiers. Mais je suis têtue 😉

–          J’ai découvert au fil du temps plein de trucs pour traiter les rosiers : bouille bordelaise, souffre, petit lait, huile essentielle de menthe (ou de sarriette, ou d’origan…), savon noir, bacillus subtilis, bicarbonate de sodium (ou, mieux encore, bicarbonate de potassium), etc. Si cela vous intéresse, je pourrai un jour tout vous raconter en détail : ces soins naturels sont très efficaces sur les maladies et ravageurs des rosiers (tâches noires, oïdium, pucerons, méligèthes …) et je les ai utilisés par le passé. Sauf que là, j’en ai un peu par dessus la tête. Passer une partie de la belle saison avec un bidon de 15l sur le dos pour asperger mes pauvres roses de bouillies blanchâtres, ou bleuâtres, ou jaunâtres, sentant le soufre, le savon, le fromage, les huiles essentielles… ça manque de charme j’avoue. Je préfère réserver mon peu de patience (et de motivation à l’idée de m’asperger de la tête au pied par la même occasion d’une senteur « oeuf pourri ») pour soigner mes légumes et mes fruitiers si besoin. Depuis environ 4 ou 5 ans, je ne traite donc plus du tout mes rosiers. Ils sont pourtant bien beaux ;), et pas beaucoup plus malades qu’avant…

Et c’est là que j’en arrive à ces quelques observations qui pourront peut-être vous aider, et pourquoi pas, même, vous réconcilier avec les rosiers ;).

Rose « Yann Arthus Bertrand », Meilland : Une rose un peu sauvageonne, à fleur de type églantine, je l’aime beaucoup…

Secret N°1 : Choisir les bons rosiers (et c’est là que je vous parle aussi du fameux label ADR©)

Quand on dit « choisir les bons rosiers », il s’agit déjà que la variété soit bien adaptée à son futur emplacement : certains rosiers, en effet, peuvent prospérer en pot, d’autres non. Certains aiment l’ombre, d’autres non. Certains supportent une exposition brûlante sur un mur plein sud, d’autres non. Certains sont plus adaptés au sud (supportant allègrement la sécheresse et la canicule), d’autres se porteront bien mieux en Bretagne (roses résistant mieux à la pluie, ceci étant dit sans vouloir titiller les bretons ^^).

Mais cela ne fait pas tout : pour mettre toutes les chances du bon côté, il faut trouver des rosiers solides.

L’ADR® est un label allemand qui est attribué uniquement aux rosiers les plus vigoureux et florifères, testés en conditions de cultures « extrêmes », sans aucun soin, et qui ont su prouver leur résistance aux maladies, au froid et aux parasites. Chez moi, tous les rosiers ADR sont increvables : « Magic Meillandécor », « Lyne Renaud », « Astronomia », « Yann Arthus Bertrand », « Lavender Dream », « Joie de Vivre », « Larissa » et « Topolina » n’en sont que quelques exemples).

En dehors de cela, j’ai eu des surprises extraordinaires avec les rosiers anglais David Austin (qui n’ont pourtant pas ce fameux label) mais à condition de les commander directement en Angleterre (ce que l’on ne peut hélas plus faire depuis le Brexit) ou du moins chez des rosiéristes français très sérieux car si vous croisez un rosier David Austin dans un supermarché, il ne donnera probablement rien de bien extraordinaire. J’ai fait le test en plantant deux rosiers « Boscobel » dans des conditions similaires : celui provenant des pépinières Austin est actuellement dix fois plus beau (c’est-à-dire couvert de roses de mai à octobre) que sa pâle copie, laquelle se contente de vivoter en émettant une pauvre rose de temps en temps juste histoire de dire « hep, je suis là hein, t’as vu je fais des fleurs alors m’arrache pas encore » ^^. Ils ont été plantés à 3 m d’écart, même sol, même exposition, mêmes plantes compagnes…

Kordes est un autre créateur très intéressant, produisant des rosiers généralement très (très !) résistants. Ce sont les Bruce Willis des jardins, ceux que je plante en situation désespérée et qui arrivent quand même à survivre, voire à épater tout le monde, voire à faire rougir, ou plutôt rosir de honte les autres rosiers plus « gâtés ».

Secret N°2 : La pépinière

Outre parfois un mauvais choix de variété, les rosiers qui sont morts chez moi avaient pour la plupart été achetés en soldes ou en « réclame » dans des supermarchés ou jardineries, ou sur des sites en ligne pas forcément formidables.

Pour être très sincère, et répondre d’avance à vos questions, à part David Austin – topissime!-, j’ai eu aussi de très bonnes expériences avec le site Pétales de Roses, et des expériences généralement bonnes avec Promesses de Fleurs et Georges Delbard (article NON sponso, je précise). Mon retour est un tantinet plus nuancé (même s’il y avait de très bons rosiers dans le lot) concernant Meilland Richardier et Guillot  : j’y ai essuyé quelques déceptions, mais peut-être n’ai-je pas eu de chance. Cela mériterait de faire de nouveaux essais car dans le lot il y a eu des moribonds mais aussi quelques pépites extraordinaires (« Lyne Renaud », « Marie Curie » et « Yann Arthus Bertrand » entre autres chez Meilland, et « Paul Bocuse » chez Guillot : des merveilles !).

Bref, je suis loin d’avoir testé tous les rosiéristes, et bien certaine qu’il y a beaucoup d’autres bonnes adresses ! N’hésitez pas à partager les vôtres en commentaires 😉

Le petit rosier Roald Dahl (Austin) ici planté dans un tonneau de bois (un gros chardon sauvage est venu se semer juste devant, je l’ai laissé : à la floraison, ce sera bien joli :))

Secret N°3 : Ne pas y regarder de trop près ^^

Oui, mes rosiers ont de petites tâches noires ou jaunâtres sur les feuilles, oui, ils ont des pucerons, et quelques mélighètes échappées des champs de colza alentours leur boulottent les pétales… Mais si l’on n’y regarde pas de trop près, cela ne les empêche pas d’avoir dans l’ensemble des fleurs extraordinaires, un port gracieux et une santé de fer. Alors, à choisir entre des petites tâches noires sans rien faire et de grosses tâches blanchâtres qui empestent la bouillie au souffre (ou au cuivre, ou au petit lait) en s’enquiquinant toute la belle saison avec un pulvérisateur en guise de sac à dos, moi, je préfère laisser faire 😉

Concernant les pucerons, je me contente d’attendre machiavéliquement que les auxiliaires s’en chargent… Car là où il y a de la bouffe (un buffet open bar de pucerons à volonté !) vous pouvez être sûrs que des coccinelles ou autres vont se radiner. A condition qu’un humain un peu ballot n’ait pas entre-temps aspergé leur délicieux banquet de savon noir, quand ce n’est pire …

Secret N°4 : Les plantes compagnes

Tous mes rosiers sont associés dans les massifs à de sympathiques plantes vivaces : menthe bergamote (elle fait de jolies fleurs mauves), népétas « Six Hills Giant », géraniums « Rozanne » ou « Brookside », perovskias, valériane, sauges, gauras… Outre le parfum très aromatique de certaines fleurs ou feuillages qui éloignent assez efficacement les ravageurs, ces plantes habillent joliment les branches de rosiers parfois un peu dénudées par le marsonia ou autre. Elles se hissent même parfois assez haut, sans pour autant créer de concurrence car leur système racinaire est généralement bien plus superficiel que celui des rosiers. Cette gracieuse association de couleurs et de formes, si agréable à l’œil (j’affectionne tout particulièrement les fleurs légères qui créent comme une brume vaporeuse autour des roses), est super efficace pour « camoufler » les petits défauts des rosiers non traités !

Ces vivaces ont un autre intérêt : elles couvrent le sol, gardant le pied des rosiers bien au frais ; ils en raffolent.

Secret N°5 : Soigner la plantation

Mieux vaut acheter en automne des rosiers à racines nues (de bonnes variétés et chez un bon rosiériste donc, pour ceux qui ont suivi ;)), retailler légèrement les racines, et planter dans un grand trou en rajoutant de la corne broyée, un bon engrais bio spécial rosier, et quelques pelletées d’Or brun. J’ai aussi parfois utilisé des mycorhizes : ce sont des champignons (sous forme d’une poudre à rajouter à la plantation) qui créent une symbiose avec les racines, leur offrant les meilleures conditions possibles à leur bon développement. C’est particulièrement important si vous devez planter un rosier à l’emplacement d’un ancien rosier…

La rose « Bathsheba » (Austin), d’une douceur infinie… Ni vraiment une rose blanche, ni vraiment une rose pêche, ni vraiment une rose jaune… et c’est bien là ce qui fait tout son charme !

Pour peaufiner l’installation au jardin d’un nouveau rosier, je façonne à la plantation une bonne cuvette (qui optimisera l’arrosage)… et je paille le pied au printemps.

J’ai déjà planté des rosiers totalement à l’ombre, ou à côté de grands arbustes offrant une trop forte concurrence ; le résultat n’a jamais été à la hauteur de mes espérances… L’exposition plein soleil est souvent conseillée pour les rosiers, mais chez moi ils sont bien plus beaux à mi-ombre, ou exposés à l’est (voire à l’ouest) plutôt que plein sud : car au soleil brûlant, les roses se fanent en quelques heures (exception faite des petites roses simples ou semi-doubles de type églantine, qui supportent en général beaucoup mieux le plein soleil que les grosses roses opulentes de type anciennes).

Secret N°6 : L’entretien

Concernant l’arrosage, un bon arrosoir de 10l une fois par semaine la première année, et juste deux ou trois bons arrosages au pied dans l’été quand ils sont adultes (en cas de sécheresse prolongée) seront suffisants, en prenant garde de ne pas mouiller le feuillage. En arrosant peu souvent, mais abondamment, on encourage les rosiers à émettre de profondes racines : cela les rend donc plus forts, plus aptes à supporter le stress hydrique d’une éventuelle sécheresse.

J’offre chaque printemps un bon festin à mes rosiers : fumier pailleux au pied (nota : ne jamais enfouir le fumier), une poignée d’engrais bio spécial rosiers, deux poignées de cendre de bois pour la potasse. En matière de « nourriture », point trop n’en faut, car un excès d’azote à l’automne ou en début de printemps c’est l’invasion de pucerons à coup sûr dès les premiers beaux jours !

Enfin, j’effectue une petite taille un peu « intuitive » début mars (sans trop me prendre la tête) et c’est tout ;). Ces quelques soins, mes braves rosiers me le rendent au centuple…


Sans vouloir vous faire trop bisquer (pardon), ça c’est la vue que j’ai par la fenêtre au petit déjeuner : Le rosier « Teasing Georgia » (Austin), des campanules sous le petit banc de pierre, et la lumière du matin, si douce… Je l’ai prise à 6H30, en pyjama, rien que pour vous ^^
Un bouquet réalisé avec les roses « Teasing Georgia », « Bathsheba », « A Shropshire Lad », « James Galway », « The Ancient Mariner », « Ann Boleyn »… Toutes de belles anglaises David Austin.
« A Shropshire Lad » (Austin)
« Bathsheba » (Austin) en bouton…
… Puis totalement épanouie, en association ici avec des pivoines blanches. Vous n’avez même pas idée du parfum de ce bouquet 🙂
« James Galway » (Austin), aux pétales festonnés si joliment imbriqués…
« Boscobel » (Austin) en bouton…
… et ici à son plein épanouissement. (Nota : le « Boscobel » de réclame n’ayant pas encore émit la moindre rose, évidemment ;)).
Toujours « Boscobel », très mystérieux puisqu’il hésitera toute la saison entre rose indien et rose cuivré.
Quelques photos de « Roald Dahl », si parfumé qu’il nous donne l’illusion de humer une tarte aux pêches sortant juste du four…
Ici « Teasing Georgia » mon chouchou…
Toujours à 6H30 du mat’, le portillon menant au potager (« Teasing Georgia » à droite, « Roald Dhal » à gauche).

Avec ce printemps si froid et pluvieux, mes roses ont un petit mois de retard par rapport à l’an dernier… J’ai donc illustré cet article avec les plus précoces (écloses à peine cette semaine) mais bientôt d’autres s’épanouiront. Rendez-vous la semaine prochaine pour découvrir d’autres petites merveilles d’élégance et de poésie 🙂

D’ici là, je vous souhaite un doux week-end… Moi, je vais remettre le nez dans mes roses dès demain matin. En espérant ne pas faire comme le capitaine Haddock ! (Petite allusion que seuls les personnes très cultivées pourront comprendre : il faut en effet avoir lu « Les bijoux de la Castafiore » ^^).

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102 réflexions au sujet de “Quelques « secrets » pour de belles roses au jardin”

  1. Après tout ça, je garde grand espoir, je rêve de beaux rosiers, je suis tes conseils à la lettre cette année. Merci Marie. J’ai posté qq photos de mon jardin sur Instagram. Bon wknd

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  2. Bonsoir, si vous aimez les belles roses élevées à la dure, je vous conseille la Pépinière Mela Rosa! Des créations magnifiques! Des trésors de beauté et de parfums

    Répondre
  3. Coucou Marie
    Merci pour ton bel article sur les rosiers les belles roses anciennes David Austin et bien d’autres que tu cites merci pour les infos et conseils je prends note. J’adore les roses et c’est bien de les laisser VIVRE ne pas trop les bousculer la nature est belle tellement belle le climat où nous habitons n’est pas le même que chez toi je vais donc en tenir compte mais chez nous il peut faire très chaud et le lendemain les températures chutent etc…. il faut faire avec et s’adapter la nature nous apporte tant. et j’en ai de plus en plus besoin de ce lien avec la terre le soleil le jardin et c’est en partie beaucoup grâce à toi et je te remercie c’est comme la cuisine et tes recettes tes livres je me régale et j’aime cuisiner en suivant tes conseils tes trucs bref j’ADORE tout ce que tu fais et je t’embrasse très très fort. Jacqueline

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    • Chère Jacqueline, je suis vraiment touchée… Merci beaucoup, te lire me fait bien chaud au coeur.
      Bon week-end à toi,
      Marie

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  4. Bonsoir Marie,

    Un grand merci pour ce magnifique article. Je partage votre amour pour les roses au « charme désuet » que vous décrivez si bien, et, grâce à votre livre dans lequel j’ai pu retrouver les splendides photos et certains conseils auxquels vous faites echo dans cet article, je me suis relancée dans la plantation des rosiers que j’avais un peu délaissé suite à quelques déconvenues…
    Concernant les pucerons, je vais bientôt tester les larves de coccinelles, je ne sais pas si vous avez eu l’occasion d’essayer, sinon je vous dirai si cela a été concluant… car je partage également avec vous votre désamour par rapport au bidon de 15l sur le dos ;-).
    Encore merci pour cette lecture, la poésie qui émane de vos photos et bien sûr vos précieux conseils.

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    • Et non, je n’ai jamais essayé, mais mon jardin abrite déjà pas mal de coccinelles heureusement… 🙂
      Bon week-end à vous Sandrine,
      Marie

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  5. Bonsoir Marie,
    Tes photos de roses me font rêver chaque fois (et ta vue du petit déjeuner, si charmante…)
    Je n’ai pas encore osé sauter le pas de planter un rosier dans ma cour (pas de sol en terre, ce serait forcément une plantation en pot) faute d’avoir pris le temps de me renseigner mais j’avoue que cela me titille !
    En attendant, je continue à profiter virtuellement des tiennes !
    Ma’

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    • Si un jour tu craques sur un rosier pour ta cour, sache qu’il y en a plusieurs qui supportent l’ombre et qui sont magnifiques 🙂
      Plein de bisous Ma !

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  6. ooooh la la ! quelle profusion de roses !!! j’aime leurs couleurs douces !
    de ma fenêtre de cuisine, je vois aussi le coussinet de campanules de notre petit jardin… mais rien de comparable à votre vue « petit déj » alors j’apprécie vraiment les photos
    bien à vous

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  7. j ai planté quelques rosiers, laissé en pot un an le temps de savoir si l expo lui plait puis pleine terre, je taille aussi un peu a l intuition ne traite pas , j ai plein de coccinelles , bourguignonnes ou pas et ne traite pas , je retire les feuilles tachées, coupe les fleurs fanées au fur et a mesure et comme toi j ai de belle roses parfumées , tes photos sont aussi gourmandes que tes patisseries ,colorées j adore
    bisous bonne soirée

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    • Merci Bluetit 🙂
      J’avoue ne pas avoir ta patience, moi je ne coupe même pas le feuillage tacheté…
      Bon week-end à toi !
      Marie

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  8. J’adore, merci!! J’ai acheté votre livre sur le jardin en permaculture et maintenant cet article, formidable! J’ai hâte de m’y mettre. Cela fait 10 ans que nous habitons au Canada et nous déménageons cet été en Lozère, sur un haut plateau, un climat un peu similaire au vôtre. La neige au mois de mai et le lendemain 25 a l’ombre :-)) une petite question, ou trouvez vous vos mycorhizes? Nous aimerions planter des fruitiers et j’ai entendu dire que ça pouvait beaucoup aider. Merci pour tout ça! Belle soirée à vous

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    • J’avais acheté ça sur le site de David Austin justement, ça s’appelait du « rootgrow » je crois, mais je n’en trouve plus hélas…
      Bon week-end à vous Alix !
      Marie

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  9. Je possède qq beaux grimpants d’une quinzaine d’années qui ont été plantés par l’ancienne propriétaire des variétés anciennes très florifères mais qui ne tiennent pas en vase. ils proviennent tous de chez André Ève réputé dans le secteur (Sud de l’île de France ). Je les taille parfois mais depuis qq années je les laisse recouvrir le mur où ils sont pâlissés. J’en profite ainsi de chaque côté. Ce soir je découvre une avalanche de fleurs. Certes un peu bousculées par les orages des heures dernières. Mais quel bonheur ce parfum ! J’avoue ne pas trop y apporter de soins ..

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    • Oui, les roses André Eve ont une très bonne réputation, mais j’avoue n’en avoir testé aucune. Je vais annoncer à mon mari qu’il va falloir faire la place au jardin pour un rosier de plus, rien que pour l’amour de la science 😉
      Bon week-end Catherine,
      Marie

      Répondre
  10. Merci pour ce merveilleux billet que nous avons lu en duo, Le Prince est bien d’accord et nos derniers rosiers viennent de la roseraie Ducher, près de Lyon, une très belle collection, de bons conseils également

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  11. Bonsoir,
    Magnifiques roses !!! Je suis une amoureuse des rosiers anciens et David austeen et en compte environ une trentaine dans mon jardin… Qui viennent d’une pépinière, qui si je ne m’abuse, ne doit pas se situer très loin de chez vous : il s’agit de « roses de charme » à Clerieux
    Je ne peux que vous les recommander et vous laisser le nom de mes 2 chouchous : rosier de recht (jamais malade et une odeur incroyable qui parfume tous les alentours) et Ghislaine de feligonde qui se pare de centaines de roses qui changent de couleur au fil de la journée)
    Bonne soirée !

    Répondre
    • Ghislaine de Féligonde, c’est une merveille… Je ne l’ai pas au jardin, mais j’en rêve depuis des années. Je vais craquer un de ces jours je crois 😉
      Bon week-end à toi Valérie
      Marie

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  12. Quel bonheur de vous lire et de recevoir tous vos conseils.
    Merci pour tout ce travail d’écriture.
    Merci aussi pour toutes ces bien jolies photos.

    Répondre
  13. Bonjour Marie, j’ai craqué à l’automne pour un rosier de chez David Austin grâce à toi (princesse Anne, obligée vu mon prénom et a priori adapté). Merci donc pour ces précieux conseils et ces superbes photos !

    Répondre
    • Je l’ai aussi ! Rose indien, fleurs de taille moyenne, très beau 🙂
      Et il sent si bon…
      Bon week-end à toi Anne 🙂
      Marie

      Répondre
  14. coucou Marie,
    Merci pour tous tes conseils.
    Ici aussi, depuis des années, j’ai testé pleins de rosiers avec beaucoup de raté.
    Mais à force de persister, j’ai un jardin rempli de jolis rosiers dont la floraison s’étend d’avril à tout l’été. (je crois que dans le coin, je dois être une des rares a en avoir autant. Bon pas étonnant en mm tps vu la région où j’habite 😉 )
    Et en ce moment, deux rosiers grimpent sur ma pergola, ils sont magnifiques et avec une odeur……Dès que le vent souffle un peu, l’air de tous les jardins alentours sont embaumés par son odeur. Pour ma part, comme toi, j’avais testé toute sorte de produits contre les maladies. Mais depuis qq années, fini! Je les laisse tranquille. Les pucerons il y en a, mais il y a aussi les chrysopes et coccinelles. Les tâches noires ou feuilles jaunes, tant pis! Je ne mettais pas de fumiers, or brun…sauf à la plantation où je mettais un peu de terreau.. Mais cette année, je l’ai fait suite à la lecture de ton article de l’an dernier. et j’ai mm rajouté des rosiers david austin et avec le label ADR toujours à la suite de ton article 🙂 On verra ce que cela donnera.
    Merci encore pour tous tes conseils, articles et photos.
    Passe un bon week-end à admirer tes sublimes rosiers.
    bises

    ps: petit question concernant le potager. J’ai planté tous me slégumes en suivant tes conseils: or brun…+ potasse. J’ai déjà deux fleurs de courgettes qui sont sorties, mais ce sont des fleurs mâles. L’an dernier, je n’ai eu que des fleurs mâles, pas de fleurs femelles ou du moins qq rares qui ont avorté, car pas de fleurs mâles en mm tps. J’ai tellement peur que cela recommence comme l’an dernier, que je me demande ce qu’il faudrait pour éviter cela. aurais tu une idée? est ce que la potasse suffit? merci encore Marie

    Répondre
    • Ma pauvre Cendrillon, là je ne saurais vraiment pas te dire… Comme ton message a déjà quelques jours, est-ce que tu as eu des fleurs femelles entre-temps?

      Répondre
      • coucou
        Je ne vois que ta réponse maintenant.
        Les seules fleurs femelles que j’ai eu, ce sont sur deux pieds que j’ai acheté en jardinerie. Sur mes plants/semis, pour le moment que des mâles. :/
        On verra la suite!
        Je me console en voyant cette année toutes les fleurs de tomates que j’ai. 🙂
        J’espère que mon potager donnera un peu plus que l’an dernier (bon en mm tps pour faire pire que l’an dernier, ça va être difficile 🙂
        Passe un bon week-end Marie.
        bises

        Répondre
  15. Merci Marie pour ces photos de rêve !! À la suite de ma maman (qui est aussi une de tes lectrices et fans 😉), j’ai transformé mon jardin en roseraie de variétés anciennes. Nous sommes de grandes fidèles d’André Ève qui est un excellent obtenteur et que je te recommande. J’ai aussi été très déçue par Promesse de fleurs, même si leur catalogue fait rêver, et Guillot (acheté chez Botanic, pas malin du tout…). J’ai adopté la même philosophie que toi vis à vis des maladies… mais par contre je retiens la super idée des caches-misères aux pieds pour le jardin de notre futur maison. Pour ce futur jardin, j’ai acheté ton livre pour me poser sérieusement la question d’un potager en perma. Je réfléchis encore pour savoir si je me lance dans l’aventure… mais ce qui est sûr c’est qu’il y aura plein de roses, donc je suis très heureuse de ton article et de ce feu d’artifice de couleurs. Par contre, je comptais mettre un Teasing Georgia, mais avec le Brexit, impossible de le trouver !!! Ni aucun Austin d’ailleurs !!! C’est fou ce truc !! Si jamais tu veux faire des échanges de boutures, fais-moi signe, on n’est pas très loin, et j’ai du beau monde dans mon jardin 😁 ! Belle soirée Marie !

    Répondre
    • Tu as été déçue par Promesses de Fleurs Hedwige? Moi ça dépend des fois : parfois j’ai été très très satisfaite (la plupart du temps en fait), mais il y a eu quelques ratées, et à chaque fois je trouve que le service client a été carrément à la hauteur : remplacement du végétal, excuses, conseils… Impeccable.
      Si tu veux des boutures, dis-moi dans quel coin tu habites, on fera ça cet automne 😉
      Bon week-end à toi,
      Marie

      Répondre
      • Alors oui, j’ai toujours été super déçue de mes commandes chez Promesses de Fleurs. Je n’en ai fait que deux du coup, donc peut être pas de chance. Une avec beaucoup de fleurs pour faire des bordures et l’autre avec des arbustes pour un bout de haie. Celle de fleurs a été catastrophique, sauf les lavandes, mais bon, les lavandes c’est un peu increvable qd même… Celle des arbustes très décevante aussi, même s’ils ont été plantés avec beaucoup de soins comme les autres dans la haie. Un sureau rouge est mort et les autres restent très chétifs et poussent super lentement…
        Pour les fleurs, c’était il y a super longtemps et je débutais en jardinage donc j’ai dû faire des erreurs (type de terre, ensoleillement, etc…), grisée par toutes les belles promesses du catalogue (genre « la plate-bande de la p.15 est splendide, je veux la même et je commande toutes les mêmes plantes »…🙄). Pour les arbustes, j’avais déjà une expérience heureuse avec l’autre partie de la haie qui venait de Botanic. Bref, j’en ai conclu que la vente par correspondance n’était pas terrible pour les plantes et qu’il valait mieux acheter local. Je t’avoue n’avoir jamais essayé de contacter le service après-vente, et peut-être que j’aurais eu une bonne surprise en le faisant !
        Pour les boutures, super ! Nous habitons au pied du Jura, vers Genève, dans le Pays de Gex, donc un climat assez proche du tien je pense, mais nous allons souvent chez mes beaux-parents qui habitent Grenoble, donc à un saut de montagne de chez toi si j’ai bien compris où était la forêt de Chambaran !😁 A suivre !
        Je te souhaite une belle journée d’été ! Confirmation de Priscille, notre petite dernière, demain… j’ai régalé toute la famille arrivée dès ce soir en prévision de la messe demain avec ton tian de courgettes (recettes méditerranéennes p.84)… quand je dis que tu fais partie de la famille… 😉
        A très vite j’espère !

        Répondre
        • Merci Hedwige pour ton retour 🙂
          En Chambaran, on es à environ 50min de Grenoble…
          Peut-être à un de ces jours alors 😉

          Répondre
  16. Merci pour ces moments de lectures toujours magiques, les photos superbes, les conseils …tout ceci fait du bien, simplement.
    J’ai découvert il y a peu la pépinière Méla Rosa et ça vaut la peine de jeter un coup d’œil, c’est vraiment très bien et les rosiers sont superbes.
    Chez André Ève aussi.
    Je ne commande plus chez Promesse de fleurs, très déçue depuis qu’ils ont fusionné avec une autre enseigne, la qualité n’est plus du tout au Rv ( et j’ai testé plusieurs choses cette année )
    Je n’ai hélas pas de bons pépiniéristes autour de chez nous ( d’où les commandes )
    Très bonne journée et vivement d’autres lignes à lire et de photos à admirer.

    Répondre
    • Je ne savais pas du tout que Promesses de Fleurs avait fusionné avec une autre enseigne, vous sauriez m’en dire un peu plus? Comme je l’écrivais en répondant au commentaire juste avant le vôtre, moi j’ai souvent été contente, il y a juste eu quelques ratées mais à chaque fois le service client a assuré (remplacement du végétal dans tous les cas, sans difficulté).
      Merci pour Mela Rosa et André Eve 🙂
      Bon week-end à vous Anne,
      Marie

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      • Je me permets de me joindre à vous. Mais j’ai aussi commandé à promesses de fleurs pleins de fois et je n’ai eu que qq ratés, mais sinon tout pousse super bien.
        Encore cet automne/hiver, j’ai commandé et tout pousse ce printemps.

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  17. Merci Marie pour ces superbes roses. Il manque le parfum. Moi aussi je suis fan des roses mais certaines années c’est le fiasco complet. Cette année mes rosiers sont très beaux. Chéri chéri s’en est occupé peut être mieux que d’habitude. Bisous. Nicole

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    • Moi cette année ils « dégustent » un peu. Gel sur les petites pousses toutes tendres, froid, sécheresse, et là d’un coup, paf, 30°C et vent tous les jours pour bien défoncer les roses (genre, comme si je les passais au deshydrateur ^^). Les pauvres… Mais bon, ça va, j’ai des roses quand même 🙂
      Bon week-end à toi Ninidio,
      Marie

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  18. Bonjour,
    On rêve devant ces superbes roses, et j’ensens presque le parfum devant l’ordi.
    Bonne fin de semaine

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  19. Je craque toujours pour tes photos de jardin et là particulièrement pour tes rosiers David Austin. J’en possède un jaune absolument parfait alors je rajouterais bien quelques cousins. D’ou ma question : lesquels sont remontants ? que je puisse en profiter tout l’été. Bon week-end

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    • Je crois que maintenant, ils sont tous remontants. Mais assez difficiles à trouver, hélas, depuis le Brexit…
      Bon week-end à toi Gredine,
      Marie

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  20. Bonjour Marie, Merci de partager vos conseils. C’est toujours un plaisir de vous lire et d’admirer vos photos…tout cela nous motivent à persévérer, belle journée. Virginie

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  21. Bonjour Marie et merci pour toutes ces belles photos….grande amatrice de rosiers, je suis en extase devant toutes ces fleurs plus belles les unes que les autres…le bouquet…quel bonheur je pourrai passer des heures à le contempler alors imaginez si je l avais chez moi !! 😊😉

    J avais des rosiers dont j ai dû me.separer carils ne faisaient rien mais comme vous je suis un peu têtue et ne m avoue pas vaincue!! J espere avoir un résultat similaire au vôtre ! Bon week-end à vous
    Marie-Pierre

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    • Merci beaucoup Marie-Pierre 🙂
      Oui, je suis sûre qu’en persévérant vous aurez bientôt des roses de folie !
      Bon week-end à vous
      Marie

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  22. Bonjour Marie et merci beaucoup pour ce bel article.
    Je compte installer des roses au jardin pour la première fois.
    Dois je attendre l’automne ou puis je dès à présent planter ??
    Merci beaucoup pour votre réponse et très belle journée.

    Stéphanie

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    • En automne, ce serait mieux, sinon il faudra les arroser tout l’été 😉
      Bon week-end à vous Stéphanie,
      Marie

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  23. Un superbe article une fois de plus 😊 j’adore te lire et m’inspire de tes conseils, merci pour tout ce que tu nous partage 🙏

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  24. Mille mercis pour cet article si riche en détails et en conseils! Vos photos sont absolument magnifiques, et votre jardin donne tellement envie de s’y promener… Je suis bien décidée à planter plusieurs rosiers dans notre jardins dès cet automne, et je m’en vais me faire une fiche pratique avec tous vos précieux conseils.
    Belle journée à vous,

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  25. Merci pour ces parfums, ces beautés et ces conseils.Merci, merci pour ce partage.
    Ici : Ibiscus, bougainvilliers, acérolat, bananier, palmiers, papayer, mélisse citronnée, frangipanes, orchidées que j’ai découvert au fil des mois. Et d’autres que je ne connais pas. Bref, nous avons un beau jardin et en profitons.
    Merci Marie et belle soirée.

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    • Oui, ce doit être un peu le jardin du Paradis vers chez toi, tout doit y être si luxuriant 🙂
      Bon week-end à toi ma chère Totoche,
      Marie

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  26. Bonjour Marie,
    Merci pour ce bel article autour de ces dames pétalées, et pour ces magnifiques photos.
    Ici, en Picardie maritime, en bord de mer, il y a belle lurette aussi que je laisse mes rosiers sans soins, à l’exception d’une petite taille en mars, l’apport de nourriture comme vous et le secret en effet est lié à concilier nos envies en feuilletant les catalogues (avec toutes ces photos qui ne sont que tentation 😜) et les endroits envisagés selon l’exposition. Ici, pas de variations de températures comme chez vous, mais du vent et les embruns. Comme vous, je reste une inconditionnelle des rosiers David Austin, mais aussi André Ève et MelaRossa, achetés directement chez les rosiéristes.
    Et oh joie, je ne suis pas la seule à être à 6h00 au jardin en pyjama, à contempler ces beautés s’épanouir en écoutant les chants d’oiseaux, le coq … elles nous le rendent si bien .
    Merci, belle floraison chez vous

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    • Ce matin, j’étais même à 5H00 en pyjama, en train d’admirer mes rosiers 😉 Je suis un peu fada ^^
      Bon week-end à vous Sophinette,
      Marie

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  27. Ah les roses, une petite merveille et on jardin est magnifique. Un véritable havre de paix.Merci pour ce doux partage olfactif et visuel , la Teasing Georgia est tout simplement superbe. Il y a 2 ans de cela j’étais allée avec l’Association Floriscola (je prenais des cours d’Art Floral) visiter la roseraie Paul Croix près d’Annonay, sublime un merveilleux moment passé dans ce lieu. Bises marie et belle journée en ce dimanche

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    • Oh, ce devait être une bien belle journée en effet, je suis presque un peu jalouse 🙂
      Plein de bises chère Jackie, et bon week-end à toi !
      Marie

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  28. c’est ma mission de septembre car ici que des vieux rosiers de plus de 30 ans tout rachitique… moi qui avait un superbe pierre de ronsard vaporeux à souhait là suis toute triste… mais l’année prochaine y’aura tout plein de roses vaporeuses de toutes les couleurs!! Merci Marie pour ces photos et ces conseils

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